Sekonda Alarme
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Sekonda Alarme
Cette est la montre au complet, déjà terminé son montage.
Voila une vidéo tout fini en sonnant.
Cette montre porte un mouvement Poljot 2612
Il s´agit de la version Russe du célèbre mouvement avec alarme A.S. 1475 que fut beaucoup usé pendent beaucoup d´années par plusieurs marques de montre
Nous commençons par la montre toute démontée (ou presque, puisque je n'ai pas faite sortir les ressorts réels)
Une vue de toutes les pièces de la montre.
Il y a beaucoup plus des pièces que sur un mouvement simple.
Les rubis du balancier, sur la platine, déjà huilés et avant d'entrer dans son logement.
La roue de centre en place avec son pont.
L'axe de cette roue est creux pour permettre le passage de l´axe de secondes.
Cette montre possède deux barillets, l´un pour la marche de la montre, un peu plus grand et l´autre, pour l'alarme, un peu plus petit.
Dans les deux cas, la fin du ressort du barillet est prix au barillet par deux petits tenons plats qui tiennent sur les deux faces plates du barillet.
Curieusement, cet arbre du barillet a la section carrée aux ses deux bouts, il en a deux rochets.
Le barillet est en place.
Le pont du barillet le maintient en place.
Le cliquet du barillet. Son ressort restera au-dessous du rochet du cliquet.
Le rochet du cliquet est fixé par une vis sur l'arbre du barillet.
Le rochet du couronne, avec son roulement et sa vis.
Le rochet du couronne sur sa place.
Le filetage de cette vis est à gauche, cela est indiqué par les trois fentes qu´on voit sur sa tête.
Le remontoir de la montre.
Ils sont placés les suivant pièces. 1-tije. 2-pignon de couronne. 3-pignon coulant. 4-bascule. 5-ressort du bascule. 6-tirette.
Les mêmes pièces, et en plus il a été placé un pignon de renvoi pour la mise en heure.
Le ressort du tirette est tenu par deux vis, dont l'une est vissé au milieu du pignon avant-dit, cela est bien ordinaire sur les mouvements.
La même pièce dans une vue à plat, de dessus.
Le ressort qui l´appuie sur la platine (attention, c´est une pièce différent du ressort du tirette).
Lorsqu´on poussé à l'axe du tirette, c´est ce ressort qui lui permet de se lever au tirette pour enlever la tije.
La tige qui commande l'alarme et le seul pignon qu´elle a, qui est coulant, bien que très différent d'un pignon coulant normal.
Les deux mêmes pièces placées sur la platine.
Cette fois, nous commençons par placer le tirette et le ressort qui l´appuie sur la platine (à ne pas confondre avec la pièce intitulée ressort du tirette).
Ces pièces sont presque égales à celles de l'autre tije.
Cette pièce, je l'appelle "bascule" par le petit mouvement qu´elle fait quand on étire la couronne et le tirette lui pousse.
Il a deux petits pignons rivés à cette plaque.
Ils sont rivés d´une manière qu'ils puissent tourner librement, en outre, comme nous le verrons d´après, l'un d´eux peut aussi glisser parallèlement à lui-même.
Au centre de cette "bascule", il y a un autre pignon, qui engrène avec les deux avant-dites.
On voit qu'il a été mis sur la platine, en engrènent avec le pignon coulant de la tije.
La "bascule" est en place. Sur cette image elle est en position de remonter l'alarme, on peut la comparer à l'image suivante.
À cette image, la "bascule" est poussé par le bout du tirette. Elle est donc en position de changer l'heure d'alarme.
Nous avons mis en place le ressort du tirette.
Juste en dessous de la tête du ressort du tirette nous avons ajouté une vis qui maintient une autre petite ressort (suivre la flèche).
Ce petit ressort est responsable de pousser vers l´haut de l'image au pignon de la bascule qui pouvait être déplacé.
Nous y allons ajouter un levier et deux ressorts.
Tous affectent la « bascule ».
Les trois pièces de l'image précédente déjà placés sur la platine.
Les trois pièces sont couvertes par un pont qui les maintient en place.
Le ressort à droite, il se trouve seulement placé dans son coin, depuis il faut le tendre.
Ce dernier ressort il doit être empilé sur l'arbre de l'un des pignons de la « bascule », de sorte qu´il la force de rester dans une certaine position.
Maintenant, on voit dans le plan, les deux positions de la “bascule”, établis par la position de la couronne.
Avec la couronne dedans, remontage de l'alarme.
Avec la couronne tendue, fonction de changer l'heure d'alarme.
Le mouvement de la “bascule” est très petit, mais facile de voir si on regarde le tenon du tirette (suivre la flèche).
Le fonctionnement de ces pièces est plus facile à voir sur une vidéo, mieux si on agrandit l´image.
En premier lieu, quand on étire ou pousse sur la couronne, le « bascule », conduit par le tirette, fait une petite rotation, ce la change la fonction de remonter l'alarme ou de changer l'heure d'alarme.
Comme caractéristique supplémentaire, cette opération met un frein sur le marteau de l'alarme (en haut dans l'image), de sorte que, lorsque on retire la couronne, l'alarme ne sonne pas.
À la position de remonter l'alarme, dans un sens de rotation de la couronne, on remonte mais dans l'autre sens de rotation, le pignon glisse sur le rochet et il ne fait aucune fonction. Pour ce la, il doit déplacer tout la « bascule ».
À la position de changer l'heure de l'alarme, à un sens de roulement de la couronne, on change l´heure d´alarme mais dans l´autre sens, il glisse sur le renvoi, comme il doit être.
On doit penser que le tournage de cette aiguille dans le sens de la marche pourrait casser le système de la alarme.
(Bien sûr, lors de l'enregistrement de cette vidéo, plus des autres pièces sont mis en place)
Il paraît qu´il y a un autre exclusion, qui empêche d´avoir les deux couronnes sortis au même temps, mais sur cette montre, ça ne marche pas.
Cette exclusion servirait pour faire plus difficile de caser le système de l´alarme pour une manipulation aux couronnes. Sur cette montre, ce système ne marche pas.
Nous retournons la platine pour continuer l´assemblage de l'alarme.
Le barillet, pour l´alarme, a deux rochet, un sur chaque côté.
Le premier est placé, bien huilée, dans le trou pour le barillet, il serve pour faire le remontage. On peut voir son engraine avec l´un des pignons de la “bascule”.
Le barillet a été placé. Il engraine avec une roue, à gauche, avec les dents triangulaires.
C´est la roue de sonnerie.
Un peu plus loin est le marteau de la sonnerie qui touche les dents de la roue de sonnerie par deux doigts.
Une vue en détail. En tournant la roue de la sonnerie, elle jette le marteau d'un bout à l'autre.
Comme toujours, ces trois dernières pièces sont maintenues en place par un pont.
Le cliquet, qui est identique à l´autre.
Ce rochet de l´alarme seulement serve pour que le cliquet tiens le ressort du barillet.
Comme cette partie est déjà finie, nous pouvons voir comment il se déplace le marteau de l'alarme.
Comme on n'est pas fixé encore le frein du marteau, quand on tourne la couronne, au lieu de remonter au ressort, il déplace le marteau.
On continue avec le montage normale d´une montre.
La roue des secondes en laiton, au-dessus du roue de centre.
Un peu plus loin, également en laiton, la roue moyenne.
La roue de l´ancre, en acier, à droite de celui de seconds. En raison de sa couleur et sa localisation, est plus difficile à voir.
Les mêmes pièces, mais vu d'en haut.
Il est intéressant de le comparer cette image avec la suivante, dans laquelle est déjà mis le pont de rouage.
Le pont de rouage en place.
Vu de profil.
L´alarme a occupé beaucoup d'espace sur la platine, pour tant, le rouage est placé en saillaient du reste des pièces de ce côté du mouvement.
Maintenant l'absence de l´ancre fait que, si nous faisons tourner la couronne, chaque roue tourne avec sa vitesse de rotation, plus rapide chaque fois. Le plus rapide de toutes, la roue de l´ancre mais, comme elle est un peu caché, elle est à peine visible.
L'ancre est devant la roue d´ancre.
Pour moi, ce lui c´est une des plus belle et délicat des pièces de la montre.
Le pont de l´ancre est toujours très petit.
Néanmoins, dans de nombreux mouvements (pas sur ce lui ci) est tenu par deux vis.
Le balancier de cette montre a son histoire.
On voit la spiral du balancier qui repose sur les brucelles.
Cette spirale est très étrange. Il pareil un spiral Breguet, mais en vrai c´est seule pareil.
La dernière boucle, ce lui qui est pris par la raquette, a été tordu, pour l´enlever du plan de les autres et pour réduire son rayon.
En autre, le piton est tordu vers l´extérieur.
La raquette est aussi très étrange.
Dans une spirale Breguet, l'enregistrement de la raquette doit être formé seulement par deux tout petites baguettes qui embrasent la dernière boucle de la spiral, sans pièces qui demandent de mouvement pour tenir la spilar..
À l´encontre de tout le dit, dans ce cas, le l'enregistrement qui tien le dernière boucle est ce lui qui est l´approprié pour une spirale plat, avec le classique pièce qui tourne pour tenir la spiral.
Le balancier placé sur le pont balancier.
Cette combinaison de «spirale pseudo-Breguet » avec raquette pour spiral plat est très ennuyeux.
Quand on essaye de faire tourner l'enregistrement de la raquette, le tournevis, qui est trop proche à la spiral, exerce une légère pression sur la spirale, ce qui jette la dernière boucle en dehors de l'enregistrement.
Après beaucoup d´essayes, j´arrive a fermer l'enregistrement avec la spirale à l'intérieur.
Ceci on peut le voir mieux en profil.
Mais avec si de tentatives, il y a eu un stupide, malheureux et $*@# %& accident.
Le ressort de l´anti-choc doit avoir touche quelque chose et il s´a cassé une jambe.
Voilà la jambe cassé. Ensuit elle a disparu, de la zone de travail (sa perdu) et plus tard elle apparaît collé à la tije (on peu le voir sur une photo plus tard).
Comme pour moi serait presque impossible d'obtenir le rechange, j'ai essayé de mettre les pierres, maintenus en place par le ressort cassé.
Il semble fonctionner, mais il est trop instable, je pense qu´avec le moindre choc il va sortir tout dans l'air.
J'ai évalué aussi la possibilité de fabriquer une autre ressort, mais en étant la taille si petite, je vois très, vraiment très, difficile.
Une alternative plus simple est de prier pour que les tailles sont compatibles et de trouver un mouvement pour cannibaliser.
J´ai la chance de trouver un mouvement, pour la démolition, avec un incabloc qui peut servir.
Voilà le donneur, déjà sans sa lire de l´Incabloc.
Pour y mettre cette lire, il faut démonter le pont balacier.
À cette image, on peut profiter pour voir bien la forme du spiral.
L´autre cote du pont. Le logement de l´anti-choc est tenu par un verrou sous la forme d´un «C»
En sortant le verrou, les pièces sont libérés.
Le logement de l´anti-choc, avec la lyre de l´Incabloc déjà placée.
La taille est parfaite.
Tout re-monté, on peut suivre l'assemblage du mouvement.
Une vue du balancier en tournant (que de peur, je pensais que je ne le verrait plus)
La même chose, mais avec plus de détails (mon Dieux, qu´il est jolie le mouvement des balanciers)
On suivre avec des autres pièces de l'alarme.
Le long bras de levier sur la gauche fait partie du mécanisme de déclenchement de l'alarme.
Ici, il est à sa place.
Le bout du levier, à travers un trou, il peut interrompre le mouvement du marteau de l'alarme et pourtant d´arrêter le son.
Ce levier est très élastique et juste au-dessus sont situés les roues qui on le rôle de contrôler le déclenchement de l'alarme.
Dans cette vidéo on peut voir le mouvement du levier.
Ces trois pièces sont placées, concentriques, sur le canon de minutes.
La plus petite est la roue des heures (sur lui, on place l'aiguille des heures), mais avec une modification . Elle est la première à être placée.
Le second pièce, plus grand, est de disque de déclenchement de l'alarme et il porte l'aiguille de l'alarme.
La troisième pièce est un ressort qui appuie les deux roues l´une sur l´autre et toutes les deux contre la platine et le long levier.
Un détail de ces roues.
La plus petite, ce lui des heures, a trois saillants.
La roue de l'alarme a trois trous.
Quand les saillants ne correspondent pas avec les trous, les deux roues sont légèrement écartés, alors, le ressort qui les appuie sur la platine, pousse aussi sur le long levier, qui descend et pour tant empêche le marteau de l'alarme de se déplacer.
Si les trois saillants coïncident avec les trous, les deux roues sont collés l´une vers l´autre, toutes les deux collées, ils ont une très faible épaisseur, donc le ressort qui les pousse contre la platine n´arrive pas à pousser le levier long. Pourtant le long levier reste un petit peut plus éloigne de la platine et permet le libre mouvement du marteau.
Ceci est difficile à expliquer avec des mots, mais quand vous le voyez, est un mécanisme très simple.
Les deux roues en place, la plus grande couvre la plus petite.
Placé au-dessus de celles-ci, le ressort appuie sur les deux roues et sur le levier.
Cette pièce, en plus de pousser, elle guide le mouvement de la roue d'alarme pour qu´il soit parfaitement concentrique.
C´est le même principe que pour le fonctionnement du réveil de table, mécanique, mais bien plus petite et beaucoup mieux matrice.
Une très petite vidéo de la façon dont le levier déclenche l´alarme.
On doit être très attentif au mouvement du bout du long levier. Le déplacement est très faible.
Nous avons fini l'assemblage du mouvement.
Le cadran et les aiguilles sont placées comme sur quelque autre montre.
Un anneau de métal, avec deux vis, fixe le mouvement à l´intérieur de la boîte (la carrure)
Avec le mouvement placés sur la carrure, On place un joint.
Le couvercle a quatre saillants qui ajustent sur quatre cavités de la carrure.
Cela garantit que la mise en place de la couvercle est toujours le même et pourtant la baguette qui est rivée sur lui, reste toujours au même endroit, pour être frappé par le marteau de l'alarme.
Un détail de la baguette rivée.
Pour finir un anneau fileté qui fait la presion nécessaire pour devenir étanche la montre.
L´assemblage est fini.
Le quadrant a quelques micro-rayures qui a faite l'aiguille de l'alarme.
C´est dommage parce que l´état de la montre est très bonne.
Comme toujours, j'espère que ça vous a amusé
Voila une vidéo tout fini en sonnant.
Cette montre porte un mouvement Poljot 2612
Il s´agit de la version Russe du célèbre mouvement avec alarme A.S. 1475 que fut beaucoup usé pendent beaucoup d´années par plusieurs marques de montre
Nous commençons par la montre toute démontée (ou presque, puisque je n'ai pas faite sortir les ressorts réels)
Une vue de toutes les pièces de la montre.
Il y a beaucoup plus des pièces que sur un mouvement simple.
Les rubis du balancier, sur la platine, déjà huilés et avant d'entrer dans son logement.
La roue de centre en place avec son pont.
L'axe de cette roue est creux pour permettre le passage de l´axe de secondes.
Cette montre possède deux barillets, l´un pour la marche de la montre, un peu plus grand et l´autre, pour l'alarme, un peu plus petit.
Dans les deux cas, la fin du ressort du barillet est prix au barillet par deux petits tenons plats qui tiennent sur les deux faces plates du barillet.
Curieusement, cet arbre du barillet a la section carrée aux ses deux bouts, il en a deux rochets.
Le barillet est en place.
Le pont du barillet le maintient en place.
Le cliquet du barillet. Son ressort restera au-dessous du rochet du cliquet.
Le rochet du cliquet est fixé par une vis sur l'arbre du barillet.
Le rochet du couronne, avec son roulement et sa vis.
Le rochet du couronne sur sa place.
Le filetage de cette vis est à gauche, cela est indiqué par les trois fentes qu´on voit sur sa tête.
Le remontoir de la montre.
Ils sont placés les suivant pièces. 1-tije. 2-pignon de couronne. 3-pignon coulant. 4-bascule. 5-ressort du bascule. 6-tirette.
Les mêmes pièces, et en plus il a été placé un pignon de renvoi pour la mise en heure.
Le ressort du tirette est tenu par deux vis, dont l'une est vissé au milieu du pignon avant-dit, cela est bien ordinaire sur les mouvements.
La même pièce dans une vue à plat, de dessus.
Le ressort qui l´appuie sur la platine (attention, c´est une pièce différent du ressort du tirette).
Lorsqu´on poussé à l'axe du tirette, c´est ce ressort qui lui permet de se lever au tirette pour enlever la tije.
La tige qui commande l'alarme et le seul pignon qu´elle a, qui est coulant, bien que très différent d'un pignon coulant normal.
Les deux mêmes pièces placées sur la platine.
Cette fois, nous commençons par placer le tirette et le ressort qui l´appuie sur la platine (à ne pas confondre avec la pièce intitulée ressort du tirette).
Ces pièces sont presque égales à celles de l'autre tije.
Cette pièce, je l'appelle "bascule" par le petit mouvement qu´elle fait quand on étire la couronne et le tirette lui pousse.
Il a deux petits pignons rivés à cette plaque.
Ils sont rivés d´une manière qu'ils puissent tourner librement, en outre, comme nous le verrons d´après, l'un d´eux peut aussi glisser parallèlement à lui-même.
Au centre de cette "bascule", il y a un autre pignon, qui engrène avec les deux avant-dites.
On voit qu'il a été mis sur la platine, en engrènent avec le pignon coulant de la tije.
La "bascule" est en place. Sur cette image elle est en position de remonter l'alarme, on peut la comparer à l'image suivante.
À cette image, la "bascule" est poussé par le bout du tirette. Elle est donc en position de changer l'heure d'alarme.
Nous avons mis en place le ressort du tirette.
Juste en dessous de la tête du ressort du tirette nous avons ajouté une vis qui maintient une autre petite ressort (suivre la flèche).
Ce petit ressort est responsable de pousser vers l´haut de l'image au pignon de la bascule qui pouvait être déplacé.
Nous y allons ajouter un levier et deux ressorts.
Tous affectent la « bascule ».
Les trois pièces de l'image précédente déjà placés sur la platine.
Les trois pièces sont couvertes par un pont qui les maintient en place.
Le ressort à droite, il se trouve seulement placé dans son coin, depuis il faut le tendre.
Ce dernier ressort il doit être empilé sur l'arbre de l'un des pignons de la « bascule », de sorte qu´il la force de rester dans une certaine position.
Maintenant, on voit dans le plan, les deux positions de la “bascule”, établis par la position de la couronne.
Avec la couronne dedans, remontage de l'alarme.
Avec la couronne tendue, fonction de changer l'heure d'alarme.
Le mouvement de la “bascule” est très petit, mais facile de voir si on regarde le tenon du tirette (suivre la flèche).
Le fonctionnement de ces pièces est plus facile à voir sur une vidéo, mieux si on agrandit l´image.
En premier lieu, quand on étire ou pousse sur la couronne, le « bascule », conduit par le tirette, fait une petite rotation, ce la change la fonction de remonter l'alarme ou de changer l'heure d'alarme.
Comme caractéristique supplémentaire, cette opération met un frein sur le marteau de l'alarme (en haut dans l'image), de sorte que, lorsque on retire la couronne, l'alarme ne sonne pas.
À la position de remonter l'alarme, dans un sens de rotation de la couronne, on remonte mais dans l'autre sens de rotation, le pignon glisse sur le rochet et il ne fait aucune fonction. Pour ce la, il doit déplacer tout la « bascule ».
À la position de changer l'heure de l'alarme, à un sens de roulement de la couronne, on change l´heure d´alarme mais dans l´autre sens, il glisse sur le renvoi, comme il doit être.
On doit penser que le tournage de cette aiguille dans le sens de la marche pourrait casser le système de la alarme.
(Bien sûr, lors de l'enregistrement de cette vidéo, plus des autres pièces sont mis en place)
Il paraît qu´il y a un autre exclusion, qui empêche d´avoir les deux couronnes sortis au même temps, mais sur cette montre, ça ne marche pas.
Cette exclusion servirait pour faire plus difficile de caser le système de l´alarme pour une manipulation aux couronnes. Sur cette montre, ce système ne marche pas.
Nous retournons la platine pour continuer l´assemblage de l'alarme.
Le barillet, pour l´alarme, a deux rochet, un sur chaque côté.
Le premier est placé, bien huilée, dans le trou pour le barillet, il serve pour faire le remontage. On peut voir son engraine avec l´un des pignons de la “bascule”.
Le barillet a été placé. Il engraine avec une roue, à gauche, avec les dents triangulaires.
C´est la roue de sonnerie.
Un peu plus loin est le marteau de la sonnerie qui touche les dents de la roue de sonnerie par deux doigts.
Une vue en détail. En tournant la roue de la sonnerie, elle jette le marteau d'un bout à l'autre.
Comme toujours, ces trois dernières pièces sont maintenues en place par un pont.
Le cliquet, qui est identique à l´autre.
Ce rochet de l´alarme seulement serve pour que le cliquet tiens le ressort du barillet.
Comme cette partie est déjà finie, nous pouvons voir comment il se déplace le marteau de l'alarme.
Comme on n'est pas fixé encore le frein du marteau, quand on tourne la couronne, au lieu de remonter au ressort, il déplace le marteau.
On continue avec le montage normale d´une montre.
La roue des secondes en laiton, au-dessus du roue de centre.
Un peu plus loin, également en laiton, la roue moyenne.
La roue de l´ancre, en acier, à droite de celui de seconds. En raison de sa couleur et sa localisation, est plus difficile à voir.
Les mêmes pièces, mais vu d'en haut.
Il est intéressant de le comparer cette image avec la suivante, dans laquelle est déjà mis le pont de rouage.
Le pont de rouage en place.
Vu de profil.
L´alarme a occupé beaucoup d'espace sur la platine, pour tant, le rouage est placé en saillaient du reste des pièces de ce côté du mouvement.
Maintenant l'absence de l´ancre fait que, si nous faisons tourner la couronne, chaque roue tourne avec sa vitesse de rotation, plus rapide chaque fois. Le plus rapide de toutes, la roue de l´ancre mais, comme elle est un peu caché, elle est à peine visible.
L'ancre est devant la roue d´ancre.
Pour moi, ce lui c´est une des plus belle et délicat des pièces de la montre.
Le pont de l´ancre est toujours très petit.
Néanmoins, dans de nombreux mouvements (pas sur ce lui ci) est tenu par deux vis.
Le balancier de cette montre a son histoire.
On voit la spiral du balancier qui repose sur les brucelles.
Cette spirale est très étrange. Il pareil un spiral Breguet, mais en vrai c´est seule pareil.
La dernière boucle, ce lui qui est pris par la raquette, a été tordu, pour l´enlever du plan de les autres et pour réduire son rayon.
En autre, le piton est tordu vers l´extérieur.
La raquette est aussi très étrange.
Dans une spirale Breguet, l'enregistrement de la raquette doit être formé seulement par deux tout petites baguettes qui embrasent la dernière boucle de la spiral, sans pièces qui demandent de mouvement pour tenir la spilar..
À l´encontre de tout le dit, dans ce cas, le l'enregistrement qui tien le dernière boucle est ce lui qui est l´approprié pour une spirale plat, avec le classique pièce qui tourne pour tenir la spiral.
Le balancier placé sur le pont balancier.
Cette combinaison de «spirale pseudo-Breguet » avec raquette pour spiral plat est très ennuyeux.
Quand on essaye de faire tourner l'enregistrement de la raquette, le tournevis, qui est trop proche à la spiral, exerce une légère pression sur la spirale, ce qui jette la dernière boucle en dehors de l'enregistrement.
Après beaucoup d´essayes, j´arrive a fermer l'enregistrement avec la spirale à l'intérieur.
Ceci on peut le voir mieux en profil.
Mais avec si de tentatives, il y a eu un stupide, malheureux et $*@# %& accident.
Le ressort de l´anti-choc doit avoir touche quelque chose et il s´a cassé une jambe.
Voilà la jambe cassé. Ensuit elle a disparu, de la zone de travail (sa perdu) et plus tard elle apparaît collé à la tije (on peu le voir sur une photo plus tard).
Comme pour moi serait presque impossible d'obtenir le rechange, j'ai essayé de mettre les pierres, maintenus en place par le ressort cassé.
Il semble fonctionner, mais il est trop instable, je pense qu´avec le moindre choc il va sortir tout dans l'air.
J'ai évalué aussi la possibilité de fabriquer une autre ressort, mais en étant la taille si petite, je vois très, vraiment très, difficile.
Une alternative plus simple est de prier pour que les tailles sont compatibles et de trouver un mouvement pour cannibaliser.
J´ai la chance de trouver un mouvement, pour la démolition, avec un incabloc qui peut servir.
Voilà le donneur, déjà sans sa lire de l´Incabloc.
Pour y mettre cette lire, il faut démonter le pont balacier.
À cette image, on peut profiter pour voir bien la forme du spiral.
L´autre cote du pont. Le logement de l´anti-choc est tenu par un verrou sous la forme d´un «C»
En sortant le verrou, les pièces sont libérés.
Le logement de l´anti-choc, avec la lyre de l´Incabloc déjà placée.
La taille est parfaite.
Tout re-monté, on peut suivre l'assemblage du mouvement.
Une vue du balancier en tournant (que de peur, je pensais que je ne le verrait plus)
La même chose, mais avec plus de détails (mon Dieux, qu´il est jolie le mouvement des balanciers)
On suivre avec des autres pièces de l'alarme.
Le long bras de levier sur la gauche fait partie du mécanisme de déclenchement de l'alarme.
Ici, il est à sa place.
Le bout du levier, à travers un trou, il peut interrompre le mouvement du marteau de l'alarme et pourtant d´arrêter le son.
Ce levier est très élastique et juste au-dessus sont situés les roues qui on le rôle de contrôler le déclenchement de l'alarme.
Dans cette vidéo on peut voir le mouvement du levier.
Ces trois pièces sont placées, concentriques, sur le canon de minutes.
La plus petite est la roue des heures (sur lui, on place l'aiguille des heures), mais avec une modification . Elle est la première à être placée.
Le second pièce, plus grand, est de disque de déclenchement de l'alarme et il porte l'aiguille de l'alarme.
La troisième pièce est un ressort qui appuie les deux roues l´une sur l´autre et toutes les deux contre la platine et le long levier.
Un détail de ces roues.
La plus petite, ce lui des heures, a trois saillants.
La roue de l'alarme a trois trous.
Quand les saillants ne correspondent pas avec les trous, les deux roues sont légèrement écartés, alors, le ressort qui les appuie sur la platine, pousse aussi sur le long levier, qui descend et pour tant empêche le marteau de l'alarme de se déplacer.
Si les trois saillants coïncident avec les trous, les deux roues sont collés l´une vers l´autre, toutes les deux collées, ils ont une très faible épaisseur, donc le ressort qui les pousse contre la platine n´arrive pas à pousser le levier long. Pourtant le long levier reste un petit peut plus éloigne de la platine et permet le libre mouvement du marteau.
Ceci est difficile à expliquer avec des mots, mais quand vous le voyez, est un mécanisme très simple.
Les deux roues en place, la plus grande couvre la plus petite.
Placé au-dessus de celles-ci, le ressort appuie sur les deux roues et sur le levier.
Cette pièce, en plus de pousser, elle guide le mouvement de la roue d'alarme pour qu´il soit parfaitement concentrique.
C´est le même principe que pour le fonctionnement du réveil de table, mécanique, mais bien plus petite et beaucoup mieux matrice.
Une très petite vidéo de la façon dont le levier déclenche l´alarme.
On doit être très attentif au mouvement du bout du long levier. Le déplacement est très faible.
Nous avons fini l'assemblage du mouvement.
Le cadran et les aiguilles sont placées comme sur quelque autre montre.
Un anneau de métal, avec deux vis, fixe le mouvement à l´intérieur de la boîte (la carrure)
Avec le mouvement placés sur la carrure, On place un joint.
Le couvercle a quatre saillants qui ajustent sur quatre cavités de la carrure.
Cela garantit que la mise en place de la couvercle est toujours le même et pourtant la baguette qui est rivée sur lui, reste toujours au même endroit, pour être frappé par le marteau de l'alarme.
Un détail de la baguette rivée.
Pour finir un anneau fileté qui fait la presion nécessaire pour devenir étanche la montre.
L´assemblage est fini.
Le quadrant a quelques micro-rayures qui a faite l'aiguille de l'alarme.
C´est dommage parce que l´état de la montre est très bonne.
Comme toujours, j'espère que ça vous a amusé
_________________
Rafa: Absolument amateur
Je sais que je ne sais rien, mais cela, je ne sais pas comment je sais
rgil- Carcharodon carcharias (Modérateur)
- Nombre de messages : 7759
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Localisation : Aragón (Espagne)
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: Sekonda Alarme
Jamais à cours d'idées lorsque tu as un soucis ! Superbe compte-rendu horloger !
Lionel
Lionel
Invité- Invité
Re: Sekonda Alarme
Comme à chaque fois : j'en reste bouche bée !!!
Merci Rafa !
Merci Rafa !
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Un sous-marin,pour une baleine,c'est un gros suppositoire. JEAN CARMET
françois assay- Rhincodon typus
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Date d'inscription : 03/04/2009
Re: Sekonda Alarme
magnifique ! quelle bonne idée ces petites vidéos !
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Memento audere semper : souviens-toi d'oser toujours
Douxding's power dive team - TDI-SDI Assistant Instructeur - Niveau IV - Trimix - plongeur Pathfinder CCR Trimix - Instructeur photo/vidéo - plongeur recycleur O2 !
Re: Sekonda Alarme
patrick a écrit: toujours aussi fort !
merci Rafa et ... viva Espagna !!
Merci Patrick et, bien sûr, tous les autre et... vive la France !! et vive MDP !!
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Rafa: Absolument amateur
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rgil- Carcharodon carcharias (Modérateur)
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Date d'inscription : 27/04/2008
Re: Sekonda Alarme
Merci Rafa c'est magnifique et très instructif
Sympa la vidéo de la sonnerie, je me suis toujours demandé à quoi elle ressemblait
Sympa la vidéo de la sonnerie, je me suis toujours demandé à quoi elle ressemblait
Invité- Invité
Re: Sekonda Alarme
Vraiment impressionnant!!!!
J'ai hâte de voir mon mouvement entre tes mains
J'ai hâte de voir mon mouvement entre tes mains
Invité- Invité
Re: Sekonda Alarme
Superbe CR, belles photos et vidéos.
Merci Rafa.
Merci Rafa.
BarbuPirate- Rhincodon typus
- Nombre de messages : 3870
Age : 58
Localisation : PACA / IDF
Date d'inscription : 03/07/2009
Re: Sekonda Alarme
Superbe travail!
Bravo Rafa
Le spiral est effectivement étonnant. Il doit avoir du mal a donner une marche régulière.
Fabrice
Bravo Rafa
Le spiral est effectivement étonnant. Il doit avoir du mal a donner une marche régulière.
Fabrice
_________________
Si cela va sans dire, cela ira encore mieux en le disant.
titus- Rhincodon typus
- Nombre de messages : 2974
Age : 49
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 09/10/2009
Re: Sekonda Alarme
je suis devant tant de travail que je serais incapable de faire
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Quelques forums quand on en a marre des montres et des poissons:
http://bdtrash.forumdediscussions.com/ le Forum des BD où les méchants, les fainéants, les fourbes gagnent à la fin et les gentils paient cher leurs bons sentiments !
http://www.nanarland.com/ le site des mauvais films sympathiques
www.maitre-eolas.fr Journal d'un avocat - Instantanés de la justice et du droit
ttp://maitremo.fr/ Petite chronique judiciaire, ordinaire et subjective, qui se développera quand elle le pourra, par un avocat au Barreau de Lille
dante- Carcharodon carcharias (Modérateur)
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Age : 51
Localisation : Bruxelles
Date d'inscription : 10/04/2008
Re: Sekonda Alarme
tout simplement hallucinant le travail que tu as fais sur la montre et pour nous le montrer
merci beaucoup
nico
merci beaucoup
nico
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Live to dive, dive to live...
awala- Rhincodon typus
- Nombre de messages : 3653
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Localisation : Sud Seine et Marne
Date d'inscription : 09/03/2009
Re: Sekonda Alarme
dante a écrit:je suis devant tant de travail que je serais incapable de faire
+1 !!
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JR78.
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jr78- Cetorhinus maximus
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Re: Sekonda Alarme
Et moi j'en suis baba
Nicolas
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L'exactitude est la politesse des montres
tartine.74- Carcharodon megalodon (Administrateur)
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