Revue Terrascope Jean Richard
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Revue Terrascope Jean Richard
Mais tout d’abord, avant la revue à proprement parler, quelques mots sur la marque JEANRICHARD (anciennement Daniel JeanRichard), peu connue y compris par les amateurs d’horlogerie.
Comme pas mal de marques suisses ou moins suisses, le nom vient d’un illustre horloger mort y a vilaine lurette : Daniel Jeanrichard, né en 1665 dans le hameau des Bressels, vers La Chaux-de-Fonds et Le Locle.
Le jeune Daniel s'avère être un excellent artisan qui après avoir commencé par réparer tout jeune des montres, va fonder son atelier, former des artisans locaux et ses fistons, avant de pieusement défuncter comme cela se faisait couramment à l’époque (enfin on suppose que c'était pieux)!
Une statue à son effigie est même dressée au Locle en 1888, preuve qu’il a marqué la naissance de l’horlogerie helvète locale.
Avant donc que son nom ne retombe dans un anonymat fort épais, jusque dans les années 80 (mon dieu comme le temps passe), et le rachat du nom / marque par le groupe SOWIND (détenteur aussi de Girard-Perregaux ce qui a fait pas mal d'ombre à DJR), lui-même progressivement racheté par PPR entre 2008 et 2011 (Dallas, ton univers ....)
Le groupe, rebaptisé Kering, est donc constitué de 2 marques de montres (et d'une manufacture en commun), dont la deuxième est une quasi inconnue face à une Girard Perregaux disposant d’une certaine image de marque (Daniel Jean Richard? Le frère du mec qui avait un cirque?)
La marque décide alors de s'atteler à créer une collection complète de 4 gammes dévoilées à BaselWorld 2013 : 3 collections de montres sportives Terrascope, Aquascope et Aéroscope (la gamme Diverscope étant antérieure pour ceux qui connaissent le modèle) et une collection plus classique avec la famille des 1681 (faisant penser par certains côtés à certaines panerai trouve-je avec son côté coussin assez arrondi des angles).
L’inspiration est donc un mélange du travail de Genta, des Panerai donc, mais aussi de Hublot pour les lunettes ou le boitier à la Big Bang, avec une réinterprétation des codes des montres des 70. Au final ça crée une vraie identité, les montres étant globalement identifiables comme faisant partie de la marque à partir du moment où on commence à la connaître.
La conception des boitiers (avec mélange de finition polie, satiné-vertical, traitement DLC noir de tout ou partie du boîtier) et la recherche de combinaisons nombreuses tant au niveau des cadrans (laqués ou à la finition satiné-vertical, bleu, gris, vert, marron, aubergine et j’en passe et des meilleurs) que des bracelets (caoutchouc, alligator, autruche, veau, autruche...) qui permettent de jouer un peu à la barbie (panerai encore).
Le tout permet une multitude de déclinaisons qui oscillent plus ou moins entre sportivité et élégance, alors même que les mouvements sont rationnalisés (du Sellita voire du module Dubois Depraz, sauf pour la 1681 qui conservent le mouvement de manuf JR1000), de même que les boitiers (même base pour les 3 gammes sportives malgré un rendu visuel assez démarqué au fil des gammes)
Bref une jolie gamme, bien pensée, pas mal placée niveau sousous, mais qui s’est sans doute un peu pris de plein fouet le contexte économique actuel pas très favorable dirons-nous pudiquement.
Ce qui est dommage mais permet de faire des affaires parfois, ce qui m’amène à la revue à proprement parler de ma dernière acquisition, une Jean Richard Terrascope, référence 60500-56-207-BB60.
La Terrascope est un modèle plutôt grand sur le papier avec un 44mm par 12.7mm et 50.0mm de largeur, et pourtant à l’usage elle se pose très bien sur le poignet (enfin le mien en tout cas).
Le boîtier est de forme légèrement coussin et est très travaillé (tendance angle et polissage) : Les brancards et la lunette en or sont verticalement et horizontalement brossées et les angles sont polis miroir, ce qui en termes de processus production doit pas être la chose la plus facile à réaliser, et en pratique ça claque sévèrement !
Globalement l’effet sport chic n’est pas sans rappeler certains modèles de Genta des années 70 genre AP ou Nautilus par exemple (sans les vis pour la première certes), ressemblance dont on peut douter qu’elle soit fortuite !
Le boitier full black DLC et les éléments or rose matchent très bien avec un élégant cadran que je qualifierais personnellement de taupe et que ma chère et tendre qualifie de moka (au passage, on lui doit les photos prises à l’iphoune qui décidément fait le job quand il s’agit de prendre des photos de montre … si vous trouvez les photos pas top du coup vous remettez en question sa contribution et là attention comme on dit dans Astérix en Corse !).
Bon donc si on revient à la couleur du cadran, on dira que c’est une sorte de gris quoi ! Cadran gris agrémenté de très jolis index appliqués bâtons plaqués or avec luminova aux extrémités (le côté sport !), et de deux aiguilles broad arrow plutôt sportives dans la forme générale et raffinées dans le détail, alliant là encore or et luminova.
En termes de littérature, sur cadran gris c’est très fondu et donc pas gênant du tout (idem pour la date d’ailleurs, ce qui n’est pas pour me déplaire). Je ne dirais peut-être pas la même chose avec un cadran clair mais en l’état c’est bien intégré.
Le bracelet est en croco pas moche, avec boucle déployante en acier DLC avec inscription Jean richard (en gold ç’eut zété mieux, mais faut contenir les marges comme on dit chez nos amis helvètes). Il existe aussi un très joli bracelet caoutchouc que j'achèterais sans doute un jour.
La couronne noire est en … heu je ne sais pas en fait, en tout cas elle est noire et siglée JR. Elle n'est pas vissée mais son étanchéité donnée à 100m est en théorie suffisante pour la baignade, baignade qu’elle ne connaitra évidemment pas parce que faut pas déconner non plus !
Le mouvement est le Calibre JR60 qui n’est autre que le Sellita SW 200, et qui a remplacé le JR 1000 de manufacture dans la plupart des modèles sport, calibre qui avait tendance à faire monter les prix dans des sphères plutôt un peu beaucoup élevés pour une marque à la notoriété discutable (pour rester poli).
Le JR 60 n’a donc pas de noblesse particulière (et a d’ailleurs la bonne idée de se cacher derrière un très joli fond plein gravé), mais c’est un mouvement fiable, et réparable chez n’importe quel horloger du coin, ce qui pour ma part me ravit grandement.
Au final une montre pour laquelle j’ai eu un vrai coup de foudre visuel d’abord sur écran (heureusement me direz-vous), impression qui se confirme largement en live au poignet.
Evidemment, sa taille la réserve à une clientèle plutôt masculine et pas trop atrophiés du poignet, comme vous pourrez le constater en la voyant autour du poignet de mme Dante. Mais les courtes cornes plongeantes permettent normalement de s'adapter à pas mal de poignets
Bref aucune faute de goût ou de qualité, un produit vraiment bien fait, dans un registre particulier qui est une faute de goût à lui tout seul me direz-vous, mais ça j’assume parfaitement, et puis y a d’autres déclinaisons qui sont bien plus sobres (multiples cadrans et variantes de boitiers / brancards / lunettes existants).
Bref un joli produit qui mériterait plus de succès, même si les difficultés rencontrés par la maison JP actuellement ne sont sans doute pas pour rien dans la possibilité que j’ai eu d’acquérir ce modèle dans des conditions qu’on qualifiera de confortable …
Comme pas mal de marques suisses ou moins suisses, le nom vient d’un illustre horloger mort y a vilaine lurette : Daniel Jeanrichard, né en 1665 dans le hameau des Bressels, vers La Chaux-de-Fonds et Le Locle.
Le jeune Daniel s'avère être un excellent artisan qui après avoir commencé par réparer tout jeune des montres, va fonder son atelier, former des artisans locaux et ses fistons, avant de pieusement défuncter comme cela se faisait couramment à l’époque (enfin on suppose que c'était pieux)!
Une statue à son effigie est même dressée au Locle en 1888, preuve qu’il a marqué la naissance de l’horlogerie helvète locale.
Avant donc que son nom ne retombe dans un anonymat fort épais, jusque dans les années 80 (mon dieu comme le temps passe), et le rachat du nom / marque par le groupe SOWIND (détenteur aussi de Girard-Perregaux ce qui a fait pas mal d'ombre à DJR), lui-même progressivement racheté par PPR entre 2008 et 2011 (Dallas, ton univers ....)
Le groupe, rebaptisé Kering, est donc constitué de 2 marques de montres (et d'une manufacture en commun), dont la deuxième est une quasi inconnue face à une Girard Perregaux disposant d’une certaine image de marque (Daniel Jean Richard? Le frère du mec qui avait un cirque?)
La marque décide alors de s'atteler à créer une collection complète de 4 gammes dévoilées à BaselWorld 2013 : 3 collections de montres sportives Terrascope, Aquascope et Aéroscope (la gamme Diverscope étant antérieure pour ceux qui connaissent le modèle) et une collection plus classique avec la famille des 1681 (faisant penser par certains côtés à certaines panerai trouve-je avec son côté coussin assez arrondi des angles).
L’inspiration est donc un mélange du travail de Genta, des Panerai donc, mais aussi de Hublot pour les lunettes ou le boitier à la Big Bang, avec une réinterprétation des codes des montres des 70. Au final ça crée une vraie identité, les montres étant globalement identifiables comme faisant partie de la marque à partir du moment où on commence à la connaître.
La conception des boitiers (avec mélange de finition polie, satiné-vertical, traitement DLC noir de tout ou partie du boîtier) et la recherche de combinaisons nombreuses tant au niveau des cadrans (laqués ou à la finition satiné-vertical, bleu, gris, vert, marron, aubergine et j’en passe et des meilleurs) que des bracelets (caoutchouc, alligator, autruche, veau, autruche...) qui permettent de jouer un peu à la barbie (panerai encore).
Le tout permet une multitude de déclinaisons qui oscillent plus ou moins entre sportivité et élégance, alors même que les mouvements sont rationnalisés (du Sellita voire du module Dubois Depraz, sauf pour la 1681 qui conservent le mouvement de manuf JR1000), de même que les boitiers (même base pour les 3 gammes sportives malgré un rendu visuel assez démarqué au fil des gammes)
Bref une jolie gamme, bien pensée, pas mal placée niveau sousous, mais qui s’est sans doute un peu pris de plein fouet le contexte économique actuel pas très favorable dirons-nous pudiquement.
Ce qui est dommage mais permet de faire des affaires parfois, ce qui m’amène à la revue à proprement parler de ma dernière acquisition, une Jean Richard Terrascope, référence 60500-56-207-BB60.
La Terrascope est un modèle plutôt grand sur le papier avec un 44mm par 12.7mm et 50.0mm de largeur, et pourtant à l’usage elle se pose très bien sur le poignet (enfin le mien en tout cas).
Le boîtier est de forme légèrement coussin et est très travaillé (tendance angle et polissage) : Les brancards et la lunette en or sont verticalement et horizontalement brossées et les angles sont polis miroir, ce qui en termes de processus production doit pas être la chose la plus facile à réaliser, et en pratique ça claque sévèrement !
Globalement l’effet sport chic n’est pas sans rappeler certains modèles de Genta des années 70 genre AP ou Nautilus par exemple (sans les vis pour la première certes), ressemblance dont on peut douter qu’elle soit fortuite !
Le boitier full black DLC et les éléments or rose matchent très bien avec un élégant cadran que je qualifierais personnellement de taupe et que ma chère et tendre qualifie de moka (au passage, on lui doit les photos prises à l’iphoune qui décidément fait le job quand il s’agit de prendre des photos de montre … si vous trouvez les photos pas top du coup vous remettez en question sa contribution et là attention comme on dit dans Astérix en Corse !).
Bon donc si on revient à la couleur du cadran, on dira que c’est une sorte de gris quoi ! Cadran gris agrémenté de très jolis index appliqués bâtons plaqués or avec luminova aux extrémités (le côté sport !), et de deux aiguilles broad arrow plutôt sportives dans la forme générale et raffinées dans le détail, alliant là encore or et luminova.
En termes de littérature, sur cadran gris c’est très fondu et donc pas gênant du tout (idem pour la date d’ailleurs, ce qui n’est pas pour me déplaire). Je ne dirais peut-être pas la même chose avec un cadran clair mais en l’état c’est bien intégré.
Le bracelet est en croco pas moche, avec boucle déployante en acier DLC avec inscription Jean richard (en gold ç’eut zété mieux, mais faut contenir les marges comme on dit chez nos amis helvètes). Il existe aussi un très joli bracelet caoutchouc que j'achèterais sans doute un jour.
La couronne noire est en … heu je ne sais pas en fait, en tout cas elle est noire et siglée JR. Elle n'est pas vissée mais son étanchéité donnée à 100m est en théorie suffisante pour la baignade, baignade qu’elle ne connaitra évidemment pas parce que faut pas déconner non plus !
Le mouvement est le Calibre JR60 qui n’est autre que le Sellita SW 200, et qui a remplacé le JR 1000 de manufacture dans la plupart des modèles sport, calibre qui avait tendance à faire monter les prix dans des sphères plutôt un peu beaucoup élevés pour une marque à la notoriété discutable (pour rester poli).
Le JR 60 n’a donc pas de noblesse particulière (et a d’ailleurs la bonne idée de se cacher derrière un très joli fond plein gravé), mais c’est un mouvement fiable, et réparable chez n’importe quel horloger du coin, ce qui pour ma part me ravit grandement.
Au final une montre pour laquelle j’ai eu un vrai coup de foudre visuel d’abord sur écran (heureusement me direz-vous), impression qui se confirme largement en live au poignet.
Evidemment, sa taille la réserve à une clientèle plutôt masculine et pas trop atrophiés du poignet, comme vous pourrez le constater en la voyant autour du poignet de mme Dante. Mais les courtes cornes plongeantes permettent normalement de s'adapter à pas mal de poignets
Bref aucune faute de goût ou de qualité, un produit vraiment bien fait, dans un registre particulier qui est une faute de goût à lui tout seul me direz-vous, mais ça j’assume parfaitement, et puis y a d’autres déclinaisons qui sont bien plus sobres (multiples cadrans et variantes de boitiers / brancards / lunettes existants).
Bref un joli produit qui mériterait plus de succès, même si les difficultés rencontrés par la maison JP actuellement ne sont sans doute pas pour rien dans la possibilité que j’ai eu d’acquérir ce modèle dans des conditions qu’on qualifiera de confortable …
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Quelques forums quand on en a marre des montres et des poissons:
http://bdtrash.forumdediscussions.com/ le Forum des BD où les méchants, les fainéants, les fourbes gagnent à la fin et les gentils paient cher leurs bons sentiments !
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dante- Carcharodon carcharias (Modérateur)
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Localisation : Bruxelles
Date d'inscription : 10/04/2008
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Jolie revue et jolies photo. Bravo Mme Dante !!
et Mr Dante aussi
Je confirme qu'elle me fait un peu de l’œil c'te p'tite toquante...
et Mr Dante aussi
Je confirme qu'elle me fait un peu de l’œil c'te p'tite toquante...
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live and let live... or die ?
Franc38- Rhincodon typus
- Nombre de messages : 7243
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Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 12/07/2011
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Originale et belle au final... Merci pour la revue et le partage à monsieur et madame. Sincèrement, j'aimerais avoir le budget pour de telles pièces ! Bonne soirée.
Jamania- Cetorhinus maximus
- Nombre de messages : 1793
Age : 55
Localisation : Paris
Date d'inscription : 09/02/2014
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Merci pour la revue
par contre, fallait pas tuer un mouton pour la faire
par contre, fallait pas tuer un mouton pour la faire
Invité- Invité
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Merci pour cette attirante et complète revue.
Un peu trop noir pour mon goût, je dois reconnaître qu´elle a une bonne originalité de désigne que n´est pas peu.
Merci aussi à Mme. Dante par sa contribution. C´est beau de voir une main féminine dans les revues.
Un peu trop noir pour mon goût, je dois reconnaître qu´elle a une bonne originalité de désigne que n´est pas peu.
Merci aussi à Mme. Dante par sa contribution. C´est beau de voir une main féminine dans les revues.
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Rafa: Absolument amateur
Je sais que je ne sais rien, mais cela, je ne sais pas comment je sais
rgil- Carcharodon carcharias (Modérateur)
- Nombre de messages : 7759
Age : 65
Localisation : Aragón (Espagne)
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Merci pour la revue et les photos.
J'aime bien l'allure générale de la montre, l'ensemble cadran gris/or rend bien ainsi que les aiguilles et surtout la finition semble de haut niveau.
Les terrascope ont la date à 0300, c'est bien mais n'ont pas de lunette alors que les Aquascope ont une lunette tournante mais la date à 0430 (j'aime pas) bref, compliquée la vie ...
J'aime bien l'allure générale de la montre, l'ensemble cadran gris/or rend bien ainsi que les aiguilles et surtout la finition semble de haut niveau.
Les terrascope ont la date à 0300, c'est bien mais n'ont pas de lunette alors que les Aquascope ont une lunette tournante mais la date à 0430 (j'aime pas) bref, compliquée la vie ...
bathy- Rhincodon typus
- Nombre de messages : 3207
Age : 57
Date d'inscription : 13/04/2013
Re: Revue Terrascope Jean Richard
J'aime beaucoup la prose et la tocante!
c'est un modèle sport et classe, la finition or n'est pas sans me déplaire, de plus l'alternance des matières et des brossages la rend très désirable!
c'est un modèle sport et classe, la finition or n'est pas sans me déplaire, de plus l'alternance des matières et des brossages la rend très désirable!
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"My watches? Wear them in fucking good health et enjoy them fucking hard"
Flickr:64patek
p@tek- Carcharodon carcharias (Modérateur)
- Nombre de messages : 7729
Age : 44
Date d'inscription : 07/07/2011
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Jolie revue, et jolie montre... Et la main de Madame... hmmm
Pour en revenir à la tocante, je la trouve intéressante avec son coté rond et carré, délicieusement décalée, et beaucoup plus élégante qu'une Hublot dont elle a effectivement de faux airs.
J'ai très hate de la voir "en vrai"
Pour en revenir à la tocante, je la trouve intéressante avec son coté rond et carré, délicieusement décalée, et beaucoup plus élégante qu'une Hublot dont elle a effectivement de faux airs.
J'ai très hate de la voir "en vrai"
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L'exactitude est la politesse des montres
tartine.74- Carcharodon megalodon (Administrateur)
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Age : 54
Localisation : PARIS
Date d'inscription : 08/03/2009
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Bonjour,
Merci pour la revue d'une montre qui se démarque des autres et qui me plait bien.
Sportive et raffinée, je l'aurais préférée avec un bracelet acier.
C'est une montre massive mais non imposante, comme je les aime.
Olivier
Merci pour la revue d'une montre qui se démarque des autres et qui me plait bien.
Sportive et raffinée, je l'aurais préférée avec un bracelet acier.
C'est une montre massive mais non imposante, comme je les aime.
Olivier
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Vivre chaque jour comme si c'était le dernier
olivier88- Rhincodon typus
- Nombre de messages : 2470
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Localisation : vosges
Date d'inscription : 01/10/2008
Re: Revue Terrascope Jean Richard
J'avoue que le petit air de famille (fortuit ) avec la PP Nautilus m'attire...
En particulier en version tout acier et 39mm... parce que 44 c'est trop gros pour mon poignet de poulet...
En particulier en version tout acier et 39mm... parce que 44 c'est trop gros pour mon poignet de poulet...
leo fk- Carcharhinus longimanus
- Nombre de messages : 182
Age : 48
Date d'inscription : 02/08/2011
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Belle revue et très complète .
Jared- Rhincodon typus
- Nombre de messages : 3965
Age : 45
Date d'inscription : 04/03/2008
Re: Revue Terrascope Jean Richard
Belle revue,
merci à mme pour la pose et paix au mouton
Fred
merci à mme pour la pose et paix au mouton
Fred
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Petit Fred
Elle est moche, mais elle a le mérite d'exister !
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